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14 août 2017

La Fabrique Saint-Germain est en vérification comptable

ÉTATS DES COMPTES. La firme Raymond Chabot Grant Thornton a été mandatée pour dresser un état des comptes de la Fabrique de la paroisse Saint-Germain-de-Rimouski au mois de juin.

C’est ce qu’indique le procès-verbal de la 117e réunion de l’Assemblée de fabrique de la paroisse Saint-Germain-de-Rimouski tenue le 12 juin, disponible pour le grand public et dont TC Media a obtenu copie.

Selon le même document, une assemblée publique pourrait avoir lieu en septembre, avec les marguilliers et les vérificateurs de la firme comptable, ceux-ci proposant de ne pas émettre d’états financiers mais un état des comptes bancaires et des placements : « La mise en commun de bilans de formes différentes lors de la fusion 2007, la perte de données comptables à la fin de 2007, des pièces justificatives manquantes (dépôts funéraires), le cumul des messes commandées non encore célébrées sont parmi les facteurs qui empêcheront les vérificateurs de garantir un bilan. Les vérificateurs avaient prévu émettre certaines réserves et celles-ci s’avèrent importantes. »

Dans le même procès-verbal, le directeur administratif de la Fabrique, Daniel Bilodeau, fait état des résultats de la Fabrique pour l’année 2017, établis le 9 juin. Pour la période du 1er janvier au 31 mai 2017, la différence notée entre les produits (entrées d’argent) et les charges (sorties d’argent) est 12 210 $. En comparaison, le document indique qu’en 2016, l’excédent était de 88 302 $.

De plus, la campagne de capitation sera relancée en septembre et le directeur administratif fait état d’un retard de 30 000 $ par rapport à l’année dernière, soit 20 000 $ en capitations et 10 000 $ en dons de solidarité. « L’assemblée convient qu’un effort particulier devra être demandé aux paroissiens lors de la relance de septembre. »

Des détecteurs thermiques au lieu des gicleurs

Pour protéger contre les incendies la salle Saint-Germain, l’ancienne sacristie de la Cathédrale de Rimouski, la fabrique a opté, toujours lors de l’assemblée du 12 juin, pour la pose de détecteurs de fumée et de détecteurs thermiques, le délai fixé par le Service incendie ayant expiré. La fabrique avait le choix entre cette solution ou le rétablissement du système de gicleurs, hors service depuis le bris d'une conduite le 20 mars dernier, les deux solutions occasionnant des coûts du même ordre, selon le même procès-verbal.

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