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26 avril 2017

Les automobilistes de la région ont eu droit à un peu de répit en 2016

Essence

©Photo Archives - Le Laurentien

PRIX DE L'ESSENCE. Les automobilistes du Bas-Saint-Laurent ont profité d'un certain répit à la pompe en 2016. Si le prix de l'essence n'a pas atteint de sommet au cours de la dernière année, les consommateurs ont également profité d'une diminution de la marge au détail.

La marge au détail a varié de -15,2 % au Bas-Saint-Laurent à travers l'année 2016. Elle est passée de 9,2 cents le litre en 2015 à 7,8 cents en 2016. Même si la marge au détail moyenne au Québec se situe à 5,8 cents, les automobilistes bas-laurentiens ont été gagnants dans le contexte.

« Il n'est pas anormal de voir une marge plus élevée en région. C'est normal d'avoir des coûts d'exploitation un peu plus élevés et que les volumes de vente soient différents. De plus, la diversité de bannières n'est pas la même et les coûts de transports sont plus élevés. Le sort s'est amélioré pour tout le monde. Quelque part, sur un plein d'essence, c'est à peu près 7 % de moins qu'un individu pouvait payer. On parle d'une centaine de dollars. Ce n'est pas énorme, mais ce sont 100 $ qui ont été mis ailleurs », illustre le porte-parole de CAA Québec, Philippe Saint-Pierre.

En date du 26 avril 2017, le prix du litre d'essence ordinaire se détaillait à 1,22.7 $ au Bas-Saint-Laurent, selon le site Info-essence de CAA Québec. La marge au détail était de près de 12,4 cents. Cette marge est jugée trop élevée par l'organisme, mais le portrait peut changer en l'espace de quelques jours, selon les variations des différents indicateurs.

« On veut que l'industrie se colle le plus possible au coût d'acquisition. Elle paie combien, elle revend combien et quelle est la différence entre les deux? C'est là qu'on intervient parce que c'est le seul endroit où on a un minimum d'emprise. Sinon, on n'a rien à faire contre le marché », explique Philippe Saint-Pierre.

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