Un conseiller demandera une nouvelle étude

TRANSPORT EN COMMUN. Le conseiller de Pointe-au-Père, Jacques Lévesque, demandera une nouvelle étude de marché sur la clientèle potentielle du service de transport collectif Citébus dans son district.

Cela fait partie des enjeux que celui qui sollicite un second mandat pour représenter l'ancienne ville fusionnée va défendre, lors de la campagne électorale.

©Photo TC Media - Pierre Michaud

Jacques Lévesque

Les résultats de l'étude précédente m'ont laissé perplexe. -Jacques Lévesque, conseiller.

« Si on se souvient bien, je me suis opposé à l'adoption du règlement pour le contrat de cinq ans de la nouvelle desserte parce qu'on a refusé d'inclure Pointe-au-Père. Les citoyens de mon district veulent être traités comme ceux des autres districts. On a accordé des extensions de service ailleurs mais pas chez-nous. Je suis toujours très contrarié par cette décision. On est peut-être pris avec un contrat de cinq ans pour le service en commun, mais cela n'empêche pas de remettre les choses en question et de se préparer pour le prochain. Je vais demander une nouvelle étude, peut-être avec des gens de l'UQAR. Les résultats de l'étude précédente m'ont laissé perplexe. Je prévois m'impliquer davantage dans le dossier des transports et j'ai prévenu mes collègues du conseil que je reviendrais à la charge », commente M. Lévesque.

Odeurs

Pointe-au-Père semble un district en assez bonne santé en général et côté services, mais sa croissance est parfois perturbée par un problème récurrent: les très mauvaises odeurs que l'on perçoit sans peine sur une partie de son rivage. Cela peut sembler cocasse pour certains, mais cela a des impacts sur les individus qui tentent de vendre leur propriété, entre autres.

Dans ce dossier de longue date et malgré des travaux majeurs de 6 M $ effectués en 2008, certains croient que ces odeurs sont dues à des installations d'assainissement des eaux déficientes, appartenant à la Ville.

Le maximum

« Il y a des choses amorcées qu'il faut continuer. Il y a eu une bonne amélioration et la Ville est très sérieuse dans la démarche dans ce dossier. Il faut toujours être aux aguets mais je suis très content de ce qui est fait. Il se passe des choses à tous les printemps. On les perçoit encore un peu cette année et j'ai l'intention de suivre ce dossier de près. Déjà, à deux reprises, des algues en décomposition ont été ramassées. L'année passée cela a été fait aussi. C'est une priorité. Il faut que ça sente le moins possible. Si on ne peut pas tout enlever, parce que c'est un marais, au moins, faisons le maximum. Il y a beaucoup de gens qui habitent directement au bord »,

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