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11 septembre 2017

Pro-Jeune-Est offre deux nouveaux programmes

©Photo TC Media – Jean-Philippe Langlais

SOUTIEN ACADÉMIQUE. Pro-Jeune-Est propose deux nouveaux programmes pour la rentrée 2017, dont un qui sera bientôt offert dans La Mitis.

L'organisme offrira, dès le 14 octobre, les ateliers KI-Bouge, destinés aux enfants de 4 et 5 ans. Il s'agit d'un programme de psychomotricité pour les jeunes du préscolaire. L'activité permet de développer à la fois des mouvements et travailler l'ensemble du corps.  Pro-Jeune-Est réalise aussi une percée dans La Mitis. Déjà offert à Rimouski, le Service alternatif pour les ados en suspension (SAPAS) sera offert à l'école Le Mistral de Mont-Joli dès la fin octobre. Le programme SAPAS offre un accompagnement basé sur la relation d'aide avec les bases de la communication non violente.

« Les partenaires ont bien répondu à nos demandes. Ça nous permet aujourd'hui d'aller de l'avant et de pouvoir déployer nos ailes comme seul Pro-Jeune-Est est capable de le faire. On a une première entrée au Mistral avec le SAPAS. Ça va permettre d'aider plusieurs jeunes », souligne la directrice de Pro-Jeune-Est, Véronique Thibault.

Ces nouveaux services s'ajoutent à ceux déjà existants. Le programme Soutien à la motivation est d'ailleurs en période de recrutement. Plus de 150 bénévoles sont nécessaires pour accompagner les jeunes vivant certaines problématiques scolaires ou sociales. Le Service d'aide personnalisé pour les enfants et les parents et le programme Mieux-être sont aussi à nouveau offerts. De plus, Pro-Jeune-Est procède à la numérisation de deux de ses outils, soit le GPS et le Stressomètre, qui seront disponibles sur son site Internet sous peu.

Financement

Pro-Jeune-Est a été confrontée, l'an passé, à une situation financière plus difficile en raison de coupes par le ministère de l'Éducation. Entre temps, l'organisme a revu ses façons de faire. Depuis, le ministère a quelque peu haussé son financement et la situation s'est améliorée, ce qui permet l'implantation des deux nouveaux programmes

« Le ministère avait décidé, l'année dernière, de verser les montants à chacune des écoles. Plutôt que de nous verser la subvention, la commission scolaire nous a demandé de s'entendre avec les écoles. Grâce à la collaboration de la commission scolaire, on a pu, avec les directions des écoles, en récupérer une bonne partie », explique le président de l'organisme, Raymond Tudeau.

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