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Retour17 juillet 2018
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Charles Albert est décédé des suites d’un traumatisme médullaire secondaire à un accident de vélo
©Photo TC Media – Archives
Le coroner Jean E. Brochu conclut que l’homme d’affaires rimouskois Charles Albert est décédé des suites d’un traumatisme médullaire secondaire à un accident de vélo, le 6 juillet 2017 à Boisbriand, dans son rapport rendu public ce mardi.
Selon le rapport d’enquête de la Régie intermunicipale de police Thérèse-de-Blainville, M. Albert roulait en vélo en direction sud sur la piste cyclable longeant le boulevard de la Grande-Allée à Boisbriand quand au même moment un camion circulant vers le nord s’apprêtait à entrer dans le stationnement d’une entreprise dont l’entrée était à sa droite. Le conducteur du camion a immobilisé son véhicule pour laisser passer le cycliste, mais il semble que le pare-chocs empiétait sur la piste cyclable et M. Albert a effectué un changement de trajectoire, dirigeant son vélo vers sa gauche où il a heurté une bordure de béton. Le vélo a culbuté. M. Albert est passé par-dessus le guidon et est tombé tête première sur la pelouse. Les passagers d’un véhicule qui suivant le camion sont arrêtés sur les lieux pour prêter assistance à M. Albert et appeler les secours.
Des examens d’imagerie ont révélé des fractures des vertèbres C2 et C3 et soulevé la possibilité d’une lésion médullaire qui s’est ensuite confirmée, laissant entrevoir de très graves séquelles neurologiques. M. Albert ayant clairement exprimé à ses proches qu’il n’accepterait pas de vivre en dépendant d’autres personnes et dans un état d’autonomie très limité, des soins de confort ont été prodigués après discussions avec les proches et le décès de M. Albert est survenu le 8 juillet à 3 h 40.
Commentaires
16 janvier 2019
Marie-Andree Roy
J’ai été témoin de l’accident de Monsieur Albert. J’ai parlé aux policiers et à un enquêteur. Je leur ai dit que Mondieur Albert arrivait du nord; pas du sud. Il s’est fait coupé. par le camionneur. L’enquête n’est pas arrivé à la bonne conclusion. Hier j’ai pris connance de cette dernière et j’ai été stupéfaite surtout qu’un enquêteur m’a appelé pour vérifier s’il arrivait du sud, ce que j’ai réfuté.. J’étais dans mon bureau d’où j’ai vu l’accident. J’étais assise face au nord. Si le cycliste était arrivé du sud, je n’aurais rien vu.
30 juin 2019
Noëlline Albert
Merci Madame ! Je suis une de ses petite sœurs et on a jamais trop vraiment su ce qui s'était passé. Vous me confirmez un peu ce qu'on nous avait dit, mais ce n'était pas clair. Encore Merci et Bonne Chance à Vous et Bel Été aussi.