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13 janvier 2017

Trafic de stupéfiants : Monique Girard renonce à son enquête préliminaire

Monique Girard, 71 ans, de Mont-Joli, accusé de possession de stupéfiants, de recel et de possession dans le but d’en faire le trafic, a renoncé à son enquête préliminaire qui devait se tenir jeudi au Palais de justice de Mont-Joli.

L’accusée ne contestant plus sa citation au procès reviendra donc devant le tribunal le 28 février pour fixer la date de son procès.

Monique Girard et son conjoint, Rolland Lévesque, 67 ans, ont été arrêtés à la suite d'une perquisition menée dans une résidence de la rue Caron, à Mont-Joli, le 3 mars 2016. « À la suite d’informations reçues du public, les policiers se sont rendus dans une résidence de la rue Caron, où ils ont fait la découverte de près de 9 000 comprimés de méthamphétamine. En plus de ces comprimés, les policiers ont saisi un montant d’argent comptant et un véhicule, en tant que bien infractionnel », expliquait alors le porte-parole de la Sûreté du Québec, Claude Doiron.

Monique Girard, 71 ans, avait été libérée sur un engagement dès sa comparution, le 3 mars. La procureure de la Couronne, Me Audrey Arsenault, a accepté la remise en liberté de Rolland Lévesque après quatre jours de détention moyennant le respect de plusieurs conditions négociées avec l'avocat de la Défense, Me Gabriel Boisvert, représentant de Me Yves Desaulniers. Tout d'abord, l'accusé s'est engagé pour une caution de 3 000 $ avec dépôt et de 20 000 $ sans dépôt, somme qu'il perdra s'il ne respecte pas ses conditions de remise en liberté. Sa fille Jenny a accepté de verser 500 $ pour se porter garante de son père. C'est d'ailleurs chez elle que Roland Lévesque doit habiter pendant la suite des procédures judiciaires. Il doit se trouver dans la résidence de la rue du Sanatorium à Mont-Joli entre 22 h et 6 h. Il doit se rapporter une fois par semaine au poste de la SQ. Il lui est interdit d'avoir des contacts avec des gens ayant un casier judiciaire. Il lui est interdit de se trouver dans des bars, de posséder des stupéfiants ainsi que des armes à feu.

Lévesque a été cité à son procès au terme d’une enquête préliminaire tenue mercredi et dont une ordonnance de non-publication empêche les médias de divulguer le contenu des témoignages jusqu’au procès dont la date devrait être fixée le 28 février.

 

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