Politique
Retour02 novembre 2017
Mérule pleureuse : une réponse du gouvernement d’ici décembre
Maxime Boivin, dont la résidence de Saint-Marcellin a dû être jetée à terre en raison de son infestation par le champignon de la mérule pleureuse, et un citoyen vivant une situation similaire ont rencontré la ministre de l'Habitation Lise Thériault pour connaître l'avancement du dossier.
Maxime Boivin était accompagné d’un autre citoyen, Mickaël Paris, dont la résidence est contaminée par la mérule pleureuse. « Hier, la ministre leur a assuré qu’elle leur donnerait une réponse d’ici décembre et qu’elle rendrait public le rapport, déposé sur son bureau en juin dernier, du comité interministériel chargé de documenter la problématique de la mérule pleureuse », a mentionné le député de Rimouski, Harold LeBel, qui accompagne la famille de M. Boivin depuis le début de ses déboires.
« Leur requête est sur la bonne voie et je serai avec eux jusqu’au dénouement heureux de ce dossier », a conclu M. LeBel.
Depuis près de trois ans, Maxime Boivin et Marie-Hélène Cauchon se battent pour que le gouvernement reconnaisse la problématique de la mérule pleureuse et mette en place un programme pour dédommager les sinistrés de ce type de champignon volatile et, selon certaines études, toxique, considéré comme le « cancer » des maisons.
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