Politique
Retour15 août 2018
La patience des candidats est mise à rude épreuve
©Photo L'Avantage - archives
DÉPENSES ÉLECTORALES. Les candidats aux dernières élections municipales doivent se montrer patients pour le remboursement de leurs dépenses électorales.
De nouvelles règles entrées en vigueur à temps pour le scrutin de novembre dernier font en sorte que leur remboursement pourrait attendre aussi loin que la fin de l’automne, soit un an plus tard. Selon des précisions fournies par le directeur financier de la Ville de Mont-Joli, Steve Corneau, Montréal et Québec étaient auparavant les deux seules villes qui versaient des revenus d’appariement aux partis politiques, soit 2,50$ par 1$ récolté en financement public. Les villes de 20 000 habitants et plus se sont ajoutées pour les élections de 2017, ce qui apporte un surcroît de travail au bureau du Directeur général des élections (DGE).
Cet exercice est priorisé au détriment des petits candidats qui, dans des petites villes comme Mont-Joli, doivent prendre leur mal en patience. Les villes versent les remboursements mais ceux-ci doivent être autorisés par le DGEQ. La tenue prochaine des élections provinciales n'a pas d'infleunce sur ces délais, car ce sont des équipes distinctes qui travaillent sur ces dossies.
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