02 novembre 2017

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©Photo Facebook Michel Pomerleau

Depuis presque 30 ans et d’abord comme journaliste, M. Pomerleau travaillait jusqu’à récemment comme affectateur et chef de pupitre à ICI Radio-Canada, à Montréal, principalement à la radio. Il a côtoyé là Brigitte Lévesque, lectrice de nouvelles, et d’autres communicateurs qui font rayonner Rimouski comme Yvan Cloutier, Bruno Coulombe et Louiselle Lévesque. C’est un autre pan de la riche histoire de Rimouski en communications qui se tourne avec la retraite de Michel Pomerleau.

Les événements les plus marquants de mon point de vue ont été les attentats de septembre 2001 et la Crise du verglas de 1998. -Michel Pomerleau

À Rimouski, les collègues, confrères et connaissances de Michel Pomerleau avaient et ont pour nom Sandy Burgess, Éric Lebel, Ernie Wells, Guy Archambault, Robert Tremblay, Claude Ross, Claude Morin, Jean Morin, Alain Dufresne, Harold Michaud, Richard Saindon, Robert Plouffe et beaucoup d’autres encore. D’abord journaliste au Progrès-Écho, en 1978, M. Pomerleau a aussi été travaillé au quotidien Le Soleil, et à Radio-Québec (ancien Télé-Québec). Il possède une maîtrise en développement régional de l’UQAR. Il est établi sur la Rive Sud de Montréal, près de son bon ami Lebel.

Événements marquants

« Je ne garde que de bons souvenirs de Rimouski et j’y vais encore régulièrement, car mon père, Jean-Charles Pomerleau, 95 ans et retraité d'Hydro-Québec, et ma sœur, Sonia, y demeurent toujours. Je les salue ainsi que mes amis. Je n’ai pas fait beaucoup « de terrain » depuis les années 1990, mais ça ne m’a pas empêché d’être dans le feu de l’action. Ça n’a pas toujours été facile, ces dernières années, à Radio-Canada, avec toutes les coupures, mais la passion nous a gardé là », confie Michel Pomerleau.

« Il s’est passé bien des choses dans l’actualité depuis mes débuts. Les événements les plus marquants de mon point de vue ont été les attentats de septembre 2001 et la Crise du verglas de 1998. Lors de ces événements, on peut dire que le reste de l’actualité a été mis en suspens », raconte-t-il également.

Michel est le père de deux jeunes femmes et sa conjointe d’appelle Denise Desgagnés. « Je ne fais rien les trois ou quatre prochains mois, c’est ça mes projets! J’attends que Denise soit à la retraite, dans deux ou trois ans, pour planifier autre chose. J’ai le cœur et l’esprit légers », conclut M. Pomerleau.