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26 octobre 2018

La SQDC se dit sensible aux commentaires sur le suremballage

cannabis SQDC

©Gracieuseté

Un exemple d'emballage que l'on peut retrouver à la SQDC pour des fleurs séchées.

Le porte-parole de la Société québécoise du cannabis (SQDC), Mathieu Gaudreault, assure que la société d’État qui gère le commerce légal de cannabis est à l’écoute des commentaires de sa clientèle concernant le suremballage des produits.

M. Gaudreault indique toutefois que la SQDC n’est pas responsable de l’emballage, mais que cette responsabilité incombe aux producteurs avec lesquels elle fait affaire : « Ils sont régis par un cadre réglementaire strict émanant de Santé Canada. Ils ont certains facteurs, dont principalement, il faut que les contenants aient un dispositif à l’épreuve des enfants et c’est ce qui rend le boitier un peu plus lourd. »

Le porte-parole assure que ces enjeux environnementaux feront partie des discussions que la société d’État aura avec ses producteurs lors du prochain appel de propositions pour les produits : « La grande majorité des produits est recyclable, mais on comprend que notre clientèle a à cœur les enjeux environnementaux. On est réaliste, mais au départ on voulait sécuriser nos approvisionnements en faisant affaire avec les producteurs. »

Pas de vrac

M. Gaudreault indique que la solution de vendre le produit en vrac n’est pas possible : « La loi ne le permet pas, ce n’est pas notre volonté. On a un cadre réglementaire assez sévère qui régit beaucoup d’aspects du commerce du cannabis, dont l’emballage. Maintenant on est ouvert à discuter avec nos producteurs pour voir comment minimiser ça et je suis sûr que nos producteurs sont sensibles à ça. »

Il dit prendre note des commentaires reçus via les réseaux sociaux ou par correspondance, mais invite la population à faire part de ses récriminations directement aux producteurs. « Si les gens sont intéressés par cet enjeu, ils devraient également le mentionner au producteur. »

À Rimouski, Michaël Bérubé Dancause avait dénoncé, via une pétition en ligne, l’emballage excessif des produits du cannabis vendu légalement dans les succursales de la Société québécoise du cannabis (SQDC).

Commentaires

13 novembre 2018

Jonathan Durocher

Et assouplir la réglementation?

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