20 septembre 2018

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©Photo L'Avantage - Archives

Provenant d’une quarantaine de pays, ils sont 465 à poursuivre leurs études à l’Université, soit 30 de plus que l’année dernière. Les nouvelles inscriptions sont également en augmentation de 1,1 % par rapport à l’année dernière, atteignant 2162 nouveaux étudiants en date du 17 septembre.

Toutefois, au total, l’UQAR compte 6676 inscriptions cet automne, soit une diminution de 2,4 %. De ce nombre, 5526 étudiantes et étudiants sont inscrits à des programmes de premier cycle et 1150 aux cycles supérieurs. Près de 3200 étudiantes et étudiants sont inscrits au campus de Lévis, correspondant à une diminution de 6,4 % par rapport à 2017 et près de 2270 au campus de Rimouski, soit une augmentation de 0,7 % par rapport à l’année dernière.

Baisse démographique

Le recteur de l'UQAR, Jean-Pierre Ouellet, attribue cette baisse à la situation démographique des régions que dessert l’unibversité, qui fait en sorte que le nombre de jeunes en âge de fréquenter l’université est en baisse depuis quelques années. « Mais le nombre d’inscriptions de nouveaux étudiants est un signe que nos efforts de recrutement portent fruit. Cette hausse représente une excellente nouvelle tant pour l’UQAR que pour le marché du travail, qui a grand besoin de main-d’œuvre qualifiée.»

Le recteur note également que le nombre d’étudiants sur le territoire desservi par l’UQAR a connu une hausse de près de 4 %, alors que 1212 sont inscrits à l’un des centres de formation de l’UQAR au Bas-Saint-Laurent, en Chaudière-Appalaches, en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine, en Haute-Côte-Nord ou à l’une des formations à distance.

« L’UQAR demeure très présente sur le territoire, notamment grâce au développement de la technologie. En formant des étudiantes et des étudiants dans leur milieu, nous contribuons à rehausser le taux de diplomation et la rétention d’une main-d’œuvre qualifiée. »