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Retour01 février 2019
Assemblée citoyenne pour une transition écologique et sociale à Rimouski
Une centaine de citoyens ont assisté à la séance publique du Conseil municipal de Rimouski pour l'adoption de la Déclaration d'urgence climatique le 19 novembre.
Le comité mobilisateur de Rimouski en Transition tiendra une assemblée citoyenne le 16 février, de 13h à 17h au Baromètre à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR).
La rencontre vise à permettre aux participants de réseauter et de renforcer les initiatives existantes et à venir qui permettront de fortifier une transition écologique et sociale. « Nul besoin d’être expert en quoi que ce soit. Seul compte le désir de s’engager pour réaliser des gestes de transition qui sont concrets. Ensemble, nous pouvons faire la différence », précise le comité.
Il s’agit de la première action du Comité de mobilisation de Rimouski en Transition, créé en décembre dernier et issu de la fusion de Rimouski en transition et du mouvement spontané de la DUC (déclaration d’urgence climatique). « Le rôle de ce comité est de mobiliser les citoyennes et les citoyens qui, en participant aux conseils municipaux des 5 et 19 novembre 2018, ont affirmé vouloir aider notre Ville à mettre en action l'engagement pris », indique le comité mobilisateur.
« À la suite de la démarche citoyenne qui a amené la Ville de Rimouski à reconnaître l’urgence climatique (19 novembre 2018), il est apparu évident qu’il fallait aller plus loin afin de répondre concrètement à cette urgence et mettre en place des solutions pratiques pour faire en sorte que les engagements pris ne restent pas que symboliques », ajoute le comité.
L’assemblée sera suivie d’un 5 à 7, sur place.
Commentaires
1 février 2019
steeve
Ne voilà tu pas le p'tit gauche gauche qui fait encore des siennes.
1 février 2019
J,F. lafleur
Bon, on y est, les écolos veulent prendre le contrôle du conseil. Si on écoute tout ce qui se dit sur l’environnement par ces écolos, on devrait mourrir rôti dans les prochains dix ans. Il es5 évident qu’il nous faut protéger l’environnement, mais il est illusoire de penser que le tout sera dû aux habitants de Rimouski et de l’Est du Québec, les vrais pollueurs ne sont pas résidents d’ici. Quand je les entends parler du chemin de fer, ce dernier passe dans nos villes depuis plus de cent ans et sans lui, on se4ait un village, le développement on lui doit. Des usines et du pétrole on a besoin encore et pour longtemps, il ne faudrait pas en faire une crise d’apoplexie.
3 février 2019
Samuel Descheneau
Gauche, Droite, pas important. Vous l'avez facile dans le Bas, je vous dis. Icitte en ville le SMOG est une réalité, surtout l'hiver. À Mourial, tu sors dehors des fois pis t'étouffe. Mon p'tit cul pèrepointois aurait jamais imaginé ça: manquer d'air. C'est la réalité. Comme tout le monde a des gros VUS malgré leur prétention d'être Vert, il faudra bien serrer la vis. Un moment donné. Les industries sont bien sûr un problème mais on s'entend qu'à Riki c'est pas trop le cas.
4 février 2019
steeve
J'aime que les gens réagissent. Tout est en place comme lois, règlements, gestion etc. Le problème est que ce n'est pas appliqué. Il y la population mais l'industrie et les états ne font aucun effort. Pourquoi ? Je pense que c'est un manque au niveau de la coordination.