23 février 2019

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©Gracieuseté Sophie Jean

La Semaine de l'emploi battra son plein du 18 au 23 mars au Bas-Saint-Laurent.

L’escapade vers l’Est, les 22 et 23 mars, est un voyage incluant le transport aller-retour entre Montréal et Rimouski ou entre Québec et Rimouski, les services d’un guide-accompagnateur, une nuit d'hébergement ainsi que trois repas.

Au programme, rencontres avec des employeurs, accueil, soutien personnalisé et réponses aux questions, activités de réseautage auxquelles participeront diverses ressources en employabilité et des représentants des organismes du milieu, tour de la ville de Rimouski et de ses environs. Cinquante places sont disponibles (adultes seulement).

La directrice régionale de Services Québec du Bas-Saint-Laurent, Mireille Parent, estime que la région doit se démarquer afin d,attirer des travailleurs de l’extérieur de la région : «  Le marché du travail fait face à des défis liés à la rareté de la main-d’œuvre, en raison, notamment, de l’évolution démographique et de la situation économique favorable. Dans ce contexte, les partenaires de la région doivent diriger leurs efforts vers l’intégration d’un plus grand nombre de personnes sur le marché du travail et vers la mise en valeur des attraits de la région. Les entreprises doivent, notamment, miser sur la formation du personnel en place et innover dans leur processus de recrutement afin de pourvoir leurs besoins en main-d’œuvre. »

Job dating

Le traditionnel Salon « Job dating » aura lieu le 23 mars à l’hôtel Rimouski. Les chercheurs d'emploi auront l'occasion de présenter leur candidature à une cinquantaine d'employeurs qui ont des besoins à pourvoir rapidement dans plusieurs domaines. Des professionnels de l'employabilité seront également présents toute la journée pour donner aux participants des trucs et des conseils sur l'art de se présenter en entrevue et offrir d'autres services liés à l'emploi.

Enfin, un dîner-conférence sera organisé par la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (CCIRN) le 19 mars, par Frédéric Laurin, titulaire d'un doctorat en économie.