Carrières dans votre région Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Hockey

Retour

19 mars 2019

Hugo Turcotte est développeur informatique à Drummondville

Hugo Turcotte

©Gracieuseté

Hugo Turcotte est programmeur informatique.

NDLR-L’Avantage en ligne amorce une série de portraits d’ex-joueurs de l’Océanic afin d’informer les partisans de ce que sont devenus leurs favoris, autant sur le plan du hockey, que de la vie professionnelle et familiale. Nous commençons notre tour d’horizon par des joueurs de la toute première saison de l’Océanic, celle de 1995-96. Des joueurs qui ont aujourd’hui 40 ans et plus.

L’ex-attaquant de l’Océanic, Hugo Turcotte, maintenant âgé de 44 ans, travaille comme développeur informatique pour la compagnie Groupe PPD, une entreprise manufacturière de Waterville ayant un bureau à Drummondville.

Hugo demeure à Drummondville depuis cinq ans. Auparavant, il résidait à Saint-Cyrille-de-Wndover, son lieu de naissance. « Je m’occupe du développement des applications de l’entreprise. Il y a une division à Drummondville. Mon bureau est là. Pendant les dernières années, j’ai été entraîneur au hockey dans les équipes de mes deux enfants. Mon fils Jérémie a terminé de jouer, il y a trois ans. Ma fille Justine complète cette année son midget AAA avec l’équipe Star 55 de La Mauricie CDQ. J’ai arrêté de coacher l’an dernier », mentionne Hugo.

Hugo ne joue plus au hockey depuis deux ans. « Les nombreuses blessures sont une des raisons pour lesquelles j’ai arrêté. Je continue de faire du sport, mais j’ai une préférence pour l’entraînement au gym », dit-il.

Hugo Turcotte a été l’une des premières vedettes de l’Océanic, avec Allan Sirois. Comme joueur de 20 ans, il a amassé 67 points en 36 matchs avant d’être échangé aux Foreurs de Val-d’Or au milieu de la saison inaugurale de l’équipe. « Par la suite, j'ai décidé d'aller jouer au hockey universitaire avec l'UQTR à Trois-Rivières pendant quatre saisons. J'ai pris ce chemin dû au fait que j'avais la bourse maximale de 14  500 $ de la LHJMQ et que je voulais un diplôme. J'ai fait un baccalauréat en informatique. J'ai joué dans la Ligue nord-américaine pendant quatre ans, mais les blessures, la famille et le travail ont fait en sorte que j'ai laissé de côté la compétition en 2003-04 », raconte celui qui a joué à Saint-Georges-de-Beauce, Saint-Hyacinthe et Windsor.

 

Commentaires

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média