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10 avril 2019

Se nourrir des arbres et de la forêt sera possible à Saint-Valérien

©Archives - Le Laurentien

La forêt nourricière sera située derrière le nouveau centre communautaire, situé dans l'église de Saint-Valérien.

La municipalité de Saint-Valérien réserve un espace de près de 100 m2 derrière son nouveau centre communautaire pour accueillir un projet de forêt nourricière.

Il s’agit d’un type d’aménagement comestible composé de plusieurs étages de végétation, où chaque espèce joue plusieurs rôles dans cet environnement, indique la MRC Rimouski-Neigette, qui participera financièrement à ce projet de recherche, en partenariat avec le Conseil de recherche en science et génie Canada (CRSNG), BIOPTERRE et le Groupe SYGIF.

En plus d’acquérir les connaissances sur les éléments de succès à l’implantation d’un système agroforestier, cette forêt nourricière permettra de créer un lieu de partage dans la communauté, où les citoyens pourront avoir accès à la récolte de diverses espèces de plantes, arbres et arbustes comestibles.

Une attention particulière sera portée sur l’éducation et l’information au public, par la mise en place d’un panneau explicatif et par une formation sur l’entretien aux responsables du site.

©Gracieuseté - MRC Rimouski-Neigette

Illustration – traduite en français –tirée de la page Facebook du collectif Au coin de ma rue, Une forêt qui nourrit.

Travaux d’ici l’été

Les travaux d’aménagement du site auront lieu cette année, d’ici l’été. Ce projet de recherche est estimé à 33 000 $. La grande partie du financement provient du CRSNG et du Groupe SYGIF et la participation de la MRC s’élève à 1000 $.

Pour le préfet de la MRC de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, le potentiel de ce projet est immense. « Pour l’ensemble de la MRC, le développement d’un potentiel d’exploitation pourrait avoir des retombées commerciales très intéressantes pour un territoire à caractère forestier dominant. C’est en parfaite harmonie avec le Plan de développement de la zone agricole (PDZA) », affirme M. St-Pierre.

Il ajoute que les systèmes agroforestiers peuvent être intégrés à un boisé agricole ou encore à une érablière afin de diversifier l’offre des entreprises et ainsi atténuer les risques associés, par exemple, aux aléas climatiques ou de production

Commentaires

16 avril 2019

devulder

super bravo

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