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24 avril 2019

Une résidence pour aînés occupera le presbytère de Mont-Joli

Presbytère Mont-Joli

©Facebook

Le presbytère Notre-Dame-de-Lourdes de Mont-Joli a été acquis par l’entrepreneur immobilier Ariel Wolf, qui compte le convertir en résidence pour aînés semi-autonome.

NOTRE-DAME-DE-LOURDES. Sur le marché depuis environ quatre ans, le presbytère Notre-Dame-de-Lourdes de Mont-Joli a changé de mains le 22 avril et sera converti en résidence pour aînés.

L’entrepreneur immobilier Ariel Wolf a acquis le bâtiment situé entre l’église et l’école des Alizés. Le presbytère, qui fera l’objet de travaux au cours des prochains mois, doit accueillir dès octobre une trentaine de résidents semi-autonomes. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé. M. Wolf, qui a développé une expertise en matière d’hébergement pour aînés, prévoit investir environ 400 000 $ pour la mise aux normes de l’édifice.

« Il s’agit pour l’instant de notre plus gros projet. J’ai déjà entrepris des démarches dans le but de certifier la résidence et nous avons engagé une architecte pour l’attestation de conformité du bâtiment. On doit ajouter un ascenseur et des gicleurs entre autres », explique l’entrepreneur d’origine ukrainienne, demeurant à Rimouski depuis sept ans.

L’entreprise de M. Wolf est actuellement en situation de croissance, procédant à plusieurs acquisitions dans la région. Construit en 1955, le presbytère compte toujours sur un excellent état structural. Ariel Wolf estime qu’il y a une demande pour ce type de service à Mont-Joli.

« La bâtisse compte déjà des chambres et plusieurs salles de bain. Son emplacement et sa grandeur offrent beaucoup de potentiel. », souligne M. Wolf.

Fin d’un long processus

Pour la Fabrique de Notre-Dame-de-Lourdes, la vente du presbytère vient mettre fin à un processus qui s’est étendu sur des années. Sans avoir permis de renflouer les coffres, la vente du presbytère vient mettre fin aux dépenses récurrentes que devait assumer la Fabrique.

« Le dossier de la vente du presbytère était à régler. Pour nous, c’était important en raison des coûts liés aux assurances, à l’électricité, à l’entretien et autres. Les dépenses s’accumulaient et il n’y avait pas de revenu. Le bâtiment était vacant et fermé », rappelle le président de la Fabrique, Gérald Boudreau.

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