Carrières dans votre région Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Justice

Retour

06 mai 2019

Dominique Fortier - dfortier@medialo.ca

Comparution de l'individu arrêté en lien avec l'accident mortel à Sainte-Anne-des-Monts

JUSTICE

Maxime Perreault

©Photo Dominique Fortier - Le Laurentien

Maxime Perreault a repris le chemin des cellules en attendant son enquête sur remise en liberté qui se déroulera le 16 mai prochain au Palais de justice de Sainte-Anne-des-Monts.

L'individu arrêté en lien avec l'accident mortel survenu dimanche matin à Sainte-Anne-des-Monts a comparu au Palais de justice afin de répondre à cinq chefs d'accusation.

Pour le moment, Maxime Perreault, 22 ans, est accusé de voies de fait sur un ambulancier, d'entrave à un agent de la paix ainsi que de trois chefs de bris de probation. Des échantillons sanguins devaient être prélevés sur l'accusé mais les résultats n'étaient pas encore disponibles au moment de la comparution de l'accusé. Ces résultats pourraient dicter avec plus de précision le chef d'accusation principal qui sera vraisemblablement déposé contre le jeune homme.

Lors de sa brève comparution au Palais de justice de Sainte-Anne-des-Monts, l'accusé s'est présenté devant le juge Embert Whittom, sous haute surveillance, devant ses proches et ceux de la victime dans un climat fort tendu. La date du 16 mai a été fixée pour son enquête sur remise en liberté.

Il a également été précisé à Perreault qu'il lui était interdit d'entrer en contact avec dix personnes dont l'ambulancier sur qui il est accusé d'avoir commis des voies de fait ainsi que les deux témoins qui ont affirmé dans les médias avoir signalé la conduite dangereuse de l'individu peu de temps avant que survienne l'accident qui a coûté la vie à une jeune femme de 33 ans.

Rappelons que Maxime Perreault possède déjà un lourd casier judiciaire malgré son jeune âge. En 2015, Perreault avait tiré des coups de feu en direction d'un lampadaire situé sur le terrain d'une résidence appartenant à des agents de la paix dans le but de les intimider. Il avait alors écopé de 18 mois de prison. Le juge avait justifié sa peine en mentionnant que l'individu était à haut risque de récidive.

Commentaires

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média