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Hockey

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08 mai 2019

« Améliorer notre culture, notre leadership et notre discipline ! » - Serge Beausoleil

Océanic

Éric Boucher et Serge Beausoleil

©Sylvie Brisson

Éric Boucher, président de l’Océanic et Serge Beausoleil, directeur-gérant et entraîneur-chef.

Clairement, l’Océanic de Rimouski voudra changer son image, confirmée par les statistiques, d’équipe la plus punie de la LHJMQ.

Si bien des pénalités sont justement appelées par les officiels, il y en a un surplus qui s’ajoute notamment depuis les deux dernières saisons « parce que les arbitres sont à l’affût de ce qu’on fait, parce que partout, on nous perçoit comme l’équipe la plus robuste » a indiqué Serge Beausoleil, en annonçant ses intentions pour la prochaine saison.

« Mario Pouliot (des Huskies de Rouyn-Noranda) a vraiment axé la plupart de ses interventions à nous dilapider là-dessus. Je pense qu’il faut changer ça. Nous avons été l’équipe la plus punie dans les deux dernières années. Je puis vous assurer d’une chose : ce ne sera pas le cas l’an prochain », de poursuivre le directeur général et entraîneur-chef de l’Océanic.

« On va jouer avec autant de ferveur, mais les joueurs vont devoir vraiment comprendre qu’on va passer de la parole aux actes » d’ajouter Serge Beausoleil pour qui, si la progression au niveau hockey est importante, au fil des saisons, le message est on ne peut plus clair, quand il affirme « qu’il faudra améliorer notre culture, notre leadership et notre discipline. »

En 2017-2018, l’Océanic avait terminé avec 1060 minutes contre 991 pour Moncton au 2e rang, une différence de 69 minutes. Au cours de la dernière saison, l’Océanic ferme la saison avec 916 minutes contre 875 au Drakkar de Baie-Comeau au 2e rang, un différentiel de 41 minutes. Amélioration, dira-t-on, mais c’est encore l’équipe la plus punie du circuit.

« Il faut que tout le monde emboîte le pas, d’où le fait que je parle de leadership, lequel vient le plus souvent de tes meilleurs éléments. Ce n’est pas un gars qui joue un match sur 3 qui va se lever dans le vestiaire et dire aux gars ‘suivez-moi’. Il faut que ce soit tes meilleurs éléments qui achètent ça et qui montrent le chemin et en cela, les gars ont des responsabilités accrues au niveau du leadership. On veut que les gars prennent charge, qu’ils montrent le chemin. Notre façon de jouer est une chose. On veut avoir une emprise sur la victoire à chaque match. On veut être compétitif chaque année. Mais ça implique aussi un contrôle accru au niveau de la discipline. »

Chez les joueurs, ce discours ne peut être nouveau. « Cela a été notre cheval de bataille depuis le jour 1 de la saison. Nous avons maintenant un changement de garde avec 10 joueurs qui quittent. »

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