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Hockey

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04 juin 2019

Serge Beausoleil et l’Océanic aux assises de la LHJMQ

Repêchage samedi

Serge Beausoleil

©Sylvie Brisson

Serge Beausoleil, directeur-gérant et entraîneur-chef.

On ne compte plus les heures passées par le personnel hockey de l’Océanic à préparer les assises de la LHJMQ. Rencontres du comité hockey, rencontres des recruteurs, discussions et entrevues avec les joueurs susceptibles d’être réclamés au repêchage samedi sont au menu auquel s’est alimenté le groupe dirigé par Serge Beausoleil, dans ses deux fonctions de directeur général et entraîneur-chef de l’Océanic de Rimouski.

Beausoleil refusera de parler de fin de saison prématurée, avec l’élimination en demi-finale, l’Océanic ayant pris part à la 3e ronde comme membre du carré d’as. « Pour moi, ce n’est pas pour nous une fin prématurée. Il y a 14 clubs qui auraient aimé être en demi-finale, de sorte que parler de fin prématurée est une façon de voir qui est un peu triste. Si tu trouves que c’est un prix de consolation que d’êtres en demi-finale cette année, avec la qualité des clubs qu’il y avait là, je n’ai pas la même lecture. Je suis très content de la route que nous avons parcourue et je ne voyais personne battre Rouyn-Noranda et dans les faits, il n’y a personne qui soit passé proche. »

Comme à tous les ans, il y a du mouvement au 2e étage de plusieurs équipes, à commencer par les Remparts de Québec qui sont venus à un cheveu de perdre Patrick Roy envers qui les Sénateurs d’Ottawa ont montré de l’intérêt, tandis que l’on a assisté au retour d’un ancien directeur général de l’Océanic, Philippe Boucher, qui signe pour trois ans avec les Voltigeurs de Drummondville. Si le dossier Roy n’a pas surpris le Nic, en chef considérant qu’il est un gars bien en vue, Beausoleil s’attendait à voir revenir dans l’action celui qui l’a engagé comme entraîneur-chef de l’Océanic.

Et après huit ans derrière le banc de Rimouski en plus du poste de directeur général depuis 6 ans, revoici Serge Beausoleil toujours derrière le banc d’une équipe envers qui tant les administrateurs que les amateurs ont des attentes très élevées.

Sauf que le coach ne voit pas ça comme de la pression sur ses épaules. « On m’avait dit ça la première année. Tu vas voir ça, tu auras à composer avec les médias, ils sont très demandant, très exigeant. Mais personnellement, je ne vois jamais ça comme de la pression, mais comme des défis. Oui, à Rimouski, on ne s’attend jamais à une équipe moribonde. On s’attend toujours d’avoir des performances sur la glace et c’est bien correct de même. »

Il faut dire que tant Serge Beausoleil que Philippe Boucher – pendant son séjour de deux ans à Rimouski, n’ont perdu de vue le premier engagement les concernant, à savoir ne pas compter une équipe cyclique, mais bien de présenter une équipe capable de compétitionner contre toutes les formations du circuit, et ce, à tous les ans. « Dans les 8 dernières années, la seule baisse de régime que nous avons eue a été quand on a laissé aller Simon Bourque, Michaël Joly et cie. Et on a tout de même eu 59 ou 60 points cette année-là. Pas loin de faire le ,500 et à part cela, on a toujours été à 80 points et plus. Oui, on a de la fierté, mais cela ne se fait pas tout seul. Tout le monde travaille vraiment très fort et le mérite revient quelque part à tout le personnel d’encadrement et surtout aux joueurs. »

Commentaires

4 juin 2019

Lahaye Bernard

oui c est vrai mais la prochaine devrait être une belle saison espérons le

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