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Justice

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05 septembre 2019

L’agent correctionnel Marc-Antoine Demers est remis en liberté sous conditions

Accusé de trafic de stupéfiants

Pierre-Yves Albert-Marc-Antoine Demers

©Facebook

Pierre-Yves Albert et Marc-Antoine Demers.

Marc-Antoine Demers, l’un des deux agents correctionnels accusés de trafic de stupéfiants à l’Établissement de détention de Rimouski, a été remis en liberté sous conditions ce jeudi après-midi au palais de justice de Rimouski.

La procureure de la Couronne, Me Isabelle Gavioli, a accepté la remise en liberté de l’individu moyennant le versement d’une caution de 10 000 $, 5 000 $ avec dépôt et 5 000 $ sans dépôt. Il lui sera interdit de posséder des armes. Il ne pourra consommer de stupéfiants et il devra se présenter au poste de la SQ pour une prise d’empreinte digitale. L’accusé ne pourra entrer en contact ou communiquer avec le coaccusé, Pierre-Yves Albert. Il reviendra en Cour le 7 octobre pour donner une orientation à son dossier.

La division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec a procédé, samedi dernier, à l’arrestation de deux agents correctionnels pour trafic de stupéfiants à l’Établissement de détention de Rimouski. Les deux ont comparu mardi en fin de journée au palais de justice de Rimouski sous différents chefs d’accusation en matière de stupéfiants.

Pierre-Yves Albert a été remis en liberté mercredi. Il reviendra lui aussi devant le juge le 7 octobre.

« L’enquête policière tend à démontrer que les deux individus, agents des services correctionnels à cet établissement, effectuaient des activités de trafic de stupéfiants au sein de celui-ci. Des perquisitions exécutées aux domiciles des suspects ont par ailleurs permis de saisir près de 135 comprimés de méthamphétamine, environ 285 grammes de résine de cannabis ainsi que près de 15 grammes de cannabis en vrac », rapporte le sergent de la SQ, Claude Doiron.

Cette opération a été rendue possible grâce à la collaboration entre la division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec et la Direction générale des services correctionnels.

 

Commentaires

6 septembre 2019

marie-lyne joubert

trop de muscles,pas de cervelle,gaspillage de vie,quelle honte pour les parents

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