16 septembre 2019

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©Photo : Charles Lepage - Le Laurentien

Le recteur de l'UQAR, Jean-Pierre Ouellet

L’université compte également 2 259 nouveaux étudiants, soit une augmentation de 4,5 % par rapport à l’année dernière. Le recteur de l’UQAR, Jean-Pierre Ouellet, se réjouit de cette deuxième hausse consécutive du nombre des nouvelles inscriptions, d’autant plus que l’université souligne ses 50 ans d’existence cette année. « L’UQAR demeure très attractive malgré un contexte démographique défavorable. Ces augmentations signifient que nos efforts de recrutement donnent de bons résultats et que l’université continue à rayonner avec la qualité des formations offertes et des travaux de recherches qui sont réalisés. »

6628 inscrits

En tout, l’UQAR compte 6628 inscriptions cet automne, soit une diminution de 0,7 %. De ce nombre, 5409 étudiants sont inscrits à des programmes de premier cycle et 1219 aux cycles supérieurs. Près de 2980 étudiantes et étudiants sont inscrits au campus de Lévis, en diminution de 6,7 % par rapport à 2018, et près de 2400 au campus de Rimouski, ce qui représente une augmentation de 5,7 % par rapport à l’année dernière.

Hors campus

Le nombre de nouvelles inscriptions pour des formations offertes hors campus a connu une hausse de 21 %, une augmentation qui peut s'expliquer notamment par la décentralisation des baccalauréats en travail social à Gaspé, en éducation préscolaire et en enseignement primaire à Baie-Comeau et en sciences infirmières à Saint-Georges et à Thetford Mines. « L’UQAR est l’une des universités qui couvrent le plus grand territoire. Il est dans l’ADN de notre université d’être présente dans les milieux qu’elle dessert. Cette proximité est une clé essentielle pour favoriser la rétention d’une main-d’œuvre qualifiée », souligne le recteur Ouellet. En tout, 1245 sont inscrits à l’un des centres de formation de l’UQAR au Bas-Saint-Laurent, en Chaudière-Appalaches, en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine, en Haute-Côte-Nord et à l’une des formations à distance.

De plus, l’UQAR a lancé deux nouveaux baccalauréats cet automne, le baccalauréat en kinésiologie, reconnu par la Fédération des kinésiologues du Québec, et le baccalauréat en génie civil, qui se démarque par une concentration en génie côtier unique au Canada.