15 janvier 2019

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©René Alary - Le Laurentien

Rebecca Caron, qui en est à sa cinquième année avec le Nordet en volleyball, et Tom Birien, aussi un équipier d’expérience avec de l’équipe de canot à glace.

Le coup d’envoi sera donné vendredi à 19 h et la compétition se déroulera toute la journée du samedi jusqu’à 18 h 30. Le tournoi impliquera les équipes de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), de l’École de technologies supérieures (ÉTS), de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) et de l’UQAR. 

Huit des onze joueuses faisaient partie de l’équipe l’an dernier, ce qui représente un atout. « Ce sera notre troisième tournoi. Trois-Rivières est d’un calibre supérieur, mais nous sommes compétitives contre les autres alors que les pointages sont toujours serrés », explique Rebecca Caron, une étudiante en enseignement primaire originaire d’Amqui qui en est à une cinquième et dernière année avec l’équipe.

Il y aura un enjeu particulier en fin de semaine puisque l’UQAR aura l’occasion de se classer pour le championnat provincial qui sera présenté dans les gymnases de l’UQAR, les 15 et 16 mars.

« Si on va chercher une victoire contre l’UQO (Université du Québec en Outaouais), on se classe. Quatre des cinq équipes de la ligue participeront au provincial. » Cette partie aura lieu samedi à 12 h 30. Le Nordet jouera aussi vendredi 19 h (UQAC) et samedi 16 h 30 (ETS).

Outre l’équipe de volleyball féminin, l’UQAR a ses équipes de canot à glace, de badminton mixte, de basketball masculin et de soccer intérieur féminin et masculin. 

« Les saines habitudes de vie sont une priorité pour l’UQAR et c’est pourquoi l’université met tout en œuvre afin d’offrir des conditions optimales pour la pratique du sport, tant récréatif que compétitif. Nos équipes du Nordet sont le fer de lance de cette approche et nos athlètes en sont des ambassadeurs de premier ordre », souligne le directeur des Services aux étudiants, Jean-François Ouellet.

L’ouverture du Complexe sportif Desjardins à proximité de l’UQAR pourrait donner des idées de développement au programme de sport de l’institution. « D’avoir des installations à proximité, c’est un plus, mais pour l’instant, on ne peut pas confirmer quoi que ce soit. Oui, rien ne nous empêche de rêver, mais les budgets et les réseaux de compétition doivent suivre », explique Jean-Philippe Angers, technicien en loisirs.