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26 novembre 2019

La Ville nuance les chiffres concernant la tarification au Complexe sportif Desjardins

Tournoi de hockey mineur

Complexe sportif Desjardins

©René Alary - Le Laurentien

Le Complexe sportif Desjardins.

La Ville de Rimouski, par l’entremise de son directeur général adjoint, Guy Dionne, nuance les chiffres avancés concernant la hausse de la tarification pour le tournoi de hockey mineur Desjardins de Rimouski.

« Il est faux de parler d’un montant de 11 000 $, car il n’y a pas de frais réclamé pour les matchs au Colisée et au pavillon. Le prix est fixé à 85 $ de l’heure au Complexe sportif Desjardins, le même tarif que paie le sport-études, le hockey scolaire et collégial. Ce qui est beaucoup moins que le plein prix de 220 $ de l’heure. Aussi, la Ville rembourse toutes les heures utilisées par le hockey mineur et les autres clubs de jeunes de la Ville pour leurs entraînements et matchs réguliers. L’an dernier, nous avons remboursé des montants de 17 700$, 8 000$ et 110 000 $ à l’association de hockey mineur de Rimouski pour l’utilisation du pavillon du Bic, du pavillon polyvalent et du Colisée. On facture les heures et on les rembourse via une subvention », explique M. Dionne.

La tarification s’applique donc uniquement pour les tournois et compétitions spéciales. « Les clubs sportifs savaient qu’ils allaient devoir faire un effort pour financer le Complexe, car le principe de l’utilisateur payeur doit s’appliquer en partie. Les organisateurs du tournoi peuvent absorber cette hausse via les frais d’inscription ou en demandant un prix d’entrée aux spectateurs. Nous convenons que c’est plus difficile au Complexe parce qu’il y a plus d’une entrée, mais c’est possible », ajoute M. Dionne.

Quand on lui demande si la hausse de tarifs aurait pu être échelonnée sur trois ans, M. Dionne répond que cela a été envisagé, mais que c’est le conseil municipal qui a décidé d’y aller avec la tarification actuelle. « Le conseil est sensible à l’équilibre entre la part de l’ensemble des citoyens et la part des utilisateurs », dit-il.

Vers en programme de commandites

Pour garder les coûts accessibles, la Ville travaille à la mise en place d’un programme de commandites où des espaces seront offerts à des entreprises sur les bandes et surfaceuses.

Pas de frais pour le soccer et le baseball mineur

M. Dionne signale que pour le moment, les équipes de soccer et de baseball mineur ne paient pas pour l’utilisation des terrains. « On devrait se pencher là-dessus au début de 2020 », mentionne-t-il.

Commentaires

27 novembre 2019

Mike

Si la ville songe à des commandites , pourquoi ne pas installer des écrans géants numériques à des endroits prédéterminés , où les commanditaires seraient affichés en succession selon le temps de publicité payé à des tarifs pré- déterminés . Beaucoup mieux que des panneaux sur les bandes qui viendraient enlaidir un si beau bâtiment tout neuf . Place à l'architecture svp . Bien beau les revenus , mais préservons les espaces récréatifs tels que conçus sans pollution visuelle d'un autre temps comme au Colisée.

7 décembre 2019

Mikael

La publicité et la ville , deux choses qui ne vont pas ensemble, si la ville se serait grouillée, ce serait elle et non le Groupe Tanguay (L'Océanic) qui empocherais les profits et que dire de la pub sur les autobus, Il n'y a que Télus qui rapporte vraiment, les autres , c'est de la gratuité.

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