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04 décembre 2019

Les Pionniers en hockey masculin prévoient embaucher un entraîneur-chef d’ici Noël

Cégep de Rimouski

Charles Doyle-Poirier

©René Alary - Le Laurentien

Charles Doyle-Poirier

La nouvelle équipe de hockey collégial masculin des Pionniers du Cégep de Rimouski devrait procéder à l’embauche de son nouvel entraîneur-chef d’ici Noël.

C’est ce que confirme le coordonnateur du service de promotion et d'animation sportive du Cégep de Rimouski, Charles Doyle-Poirier. « Juste en ajoutant un onglet pour le hockey masculin sur notre site Internet, nous avons reçu entre 40 et 50 noms de joueurs intéressés à intégrer le programme. Nous souhaitons embaucher notre entraîneur-chef afin qu’il mette en place un mode de sélection et de camp d’évaluation. La présence d’une équipe collégiale en hockey masculin répond à un besoin régional. Présentement, il n’y a aucune offre pour les joueurs ayant complété leur stage secondaire ou midget. Il n’y a pas de ligue junior dans la région », indique M. Doyle-Poirier.

Les filles en division 2

À l’instar de leurs collègues masculins, les Pionnières en hockey féminin évolueront en division 2 à compter de l’automne prochain. Le Réseau du sport étudiant du Québec a confirmé la semaine dernière que les collèges de Rimouski et de Dawson passeraient de la division 1 à la division 2. « Nous avions rempli notre cahier de charge pour rester dans la division 1, mais le RSEQ a pris la décision. Il y a neuf équipes présentement en division 1. Lionel-Groulx a décidé d’abandonner son programme de hockey féminin. Le RSEQ voulait faire descendre deux équipes en division 2 », explique M. Doyle-Poirier.

Le Collège Dawson en appelle de la décision du RSEQ, ce qui n’est pas le cas pour Rimouski, qui évoluera donc avec les cégeps de Drummondville, Trois-Rivières et le campus Lotbinière du Cégep de Thetford-Mines et, possiblement Dawson. « Le programme féminin est en bonne santé. Nous avons le maximum de joueuses permis, soit 24. Nous devrions être parmi les meilleurs en division 2 », analyse M. Doyle-Poirier.

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