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21 octobre 2022

Communiqué L'Avantage - redactionrimouski@medialo.ca

Une exposition pour rencontrer les femmes autochtones

PRÉSENTÉE PAR L’UQAR

« Tisser des liens, femmes autochtones du Nord, femmes autochtones du Sud » est présentée du 1er au 30 novembre. La galerie d’art Mouvement Desjardins est ouverte tous les jours de 9 h à 21 h.

©Photo : gracieuseté

« Tisser des liens, femmes autochtones du Nord, femmes autochtones du Sud » est présentée du 1er au 30 novembre. La galerie d’art Mouvement Desjardins est ouverte tous les jours de 9 h à 21 h.

La galerie d’art Mouvement Desjardins de l’UQAR présente, du 1er au 30 novembre, l’exposition « Tisser des liens, femmes autochtones du Nord, femmes autochtones du Sud » du Comité Kassinu Mamu.

Une vingtaine d’objets et de peintures composent cette exposition multiculturelle. Marie Émilie Lacroix, coordonnatrice aux affaires autochtones et membre du Comité Kassinu Mamu, indique : « Ils illustrent le thème choisi dans le but de faire connaître les liens qui existent et ceux à créer par les femmes autochtones du Nord et du Sud avec les femmes d’ici. C’est un peu comme si le quotidien et la tradition s’entremêlent à travers ces expressions artistiques. »

L’exposition « Tisser des liens, femmes autochtones du Nord, femmes autochtones du Sud » met de l’avant des photographies et des peintures de Guitté Hartog. Mme Lacroix précise : « Ses œuvres lui servent d’outils relationnels pour unir les femmes du Sud et du Nord lors de ses rencontres sur le terrain. Guitté Hartog exprime par son art les réalités, les luttes et les aspirations de ces femmes. »  

Des peintures réalisées par Josée Laflamme, une Québécoise qui a partagé sa vie pendant 20 ans avec un homme des Premières Nations, seront présentées lors de l’exposition. Marie Émilie Lacroix exposera elle-même des tableaux et des objets issus de la culture autochtone. « Ces objets sont des œuvres acquises lors de mon passage dans différentes communautés autochtones au Québec; ils offrent des moments de beauté et de réflexion », précise-t-elle.

Le Comité Kassinu Mamu réunit des professeurs des campus de Lévis et de Rimouski de même que des étudiants de l’UQAR. Marie Émilie Lacroix conclut : « Notre comité a pour mission de faire connaître les cultures autochtones par diverses activités, comme des expositions. En cette ère de guérison, il est important de proposer des occasions de rencontre entre les Autochtones, la communauté universitaire et la population. »

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