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01 février 2018

Agressions sexuelles : les plaidoiries au procès de Bruno Jean reportées

©Photo TC Media - Alexandre D'Astous

Prévues ce jeudi au palais de justice de Rimouski, les plaidoiries de la Couronne et de la Défense au procès de Bruno Jean, 51 ans, de Saint-Pierre-de-Lamy, ont été reportées au 16 février à Mont-Joli.

« J’ai tenu une conférence téléphonique avec Me Dumas, il y a quelques semaines. Il m’informait qu’il ne pourrait pas plaider, car il devait être retenu par une autre cause», indique la juge de la Cour du Québec, Andrée St-Pierre.

Bruno Jean fait face à des accusations en matière sexuelle pour des événements qui se sont déroulés en 2012 à Saint-Guy. Un procès de quatre jours a pris fin le 17 novembre à Rimouski.

Deux enquêteurs ont été cités à témoigner par la Couronne, un ex-policier, Yoland Bouchard et une enquêtrice, Brigitte Massé. Yoland Bouchard était technicien en identité judiciaire et travaillait avec l’enquêtrice Brigitte Massé au moment des faits.

M. Bouchard a d’abord été sommé d’expliquer les croquis qu’il a effectués en le 17 mai 2012 de la maison où les faits allégués se seraient produits, à Saint-Guy. Il a ensuite décrit les 165 photographies extérieures et intérieures prises cette même journée, entre 13 h 20 et 14 h 10.

Les témoignages des trois présumées victimes se sont faits à huis clos. Les plaignantes étaient mineures au moment des faits allégués.

Me Alain Dumas a amorcé sa défense par le témoignage de l’accusé. L’accusé a notamment admis « ginguer» avec les victimes, un jeu où il y aurait eu des contacts physiques, mais il affirme n’avoir jamais touché les seins des plaignantes. « J’aimais m’amuser avec les filles, pas pour les taponner», dit-il. Bruno Jean prétend n’avoir jamais été seul avec les plaignantes.

Une ordonnance de non-publication empêche les médias de dévoiler tout détail permettant d’identifier les victimes.

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