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07 février 2018

Les Échos du palais de justice de Rimouski – 7 février

©Photo Tc Media - Alexandre D'Astous

Voici quelques décisions prises par la juge de la Cour du Québec, Andrée St-Pierre, ce mercredi matin au palais de justice de Rimouski.

Absolution pour une enseignante

Une enseignante a obtenu une absolution conditionnelle pour ne pas avoir respecté les conditions d’une première probation émise comme condition à une première absolution obtenue en mars 2017 pour s’être portée à des voies de fait contre son ex-conjoint. « Les bris se produisent dans un contexte de séparation houleuse. Les événements se sont produits les 6, 9 et 15 mai à Rimouski. Il s’agit d’un doigt d’honneur, de deux coups de klaxon alors que monsieur sortait son recyclage chez lui et d’un événement où elle l’a suivi dans une quincaillerie de la rue Rouleau alors qu’il lui était  interdit d’entrer en contact avec monsieur. Un casier judiciaire serait dommageable pour madame comme enseignante. On vous suggère une deuxième absolution conditionnelle au respect d’une probation de 12 mois, mais madame doit comprendre que les absolutions, ça a une fin. Dans le cadre de la probation, on vous suggère le versement d’un don de 750 $ à la Fondation du Centre jeunesse du Bas-Saint-Laurent», plaide la procureure de la Couronne, Me Éliane Beaulieu. La juge Andrée St-Pierre a suivi la suggestion de Me Beaulieu et de Me Céline Nadeau, en Défense. Nous préservons l’anonymat de l’accusée en raison de son absolution.

Alcool au volant

Jonathan Dubé, 20 ans, a admis avoir conduit son véhicule avec les facultés affaiblies, le 21 mai 2017 à Rimouski. « Les policiers interviennent pour une conduite erratique sur l’Autoroute 20. Une ambulance a même évité de peu un accident avec monsieur. Lors de son interception, les policiers remarquent plusieurs symptômes de facultés affaiblies. Monsieur a les yeux rouges, une difficulté d’élocution, une forte haleine d’alcool», raconte la procureure de la Couronne, Me Éliane Beaulieu. L’homme écope d’une amende de 1 500 $ et voit son permis de conduire être suspendu pour un an.

Liberté illégale

Robert Arsenault est condamné à 20 jours de prison, en plus de voir sa peine précédente de 90 jours de prison les fins de semaine être transformé en peine consécutive pour avoir omis de se présenter au centre de détention de Rimouski les 24 décembre, 21 janvier, 3 et 4 février, se trouvant ainsi en liberté illégale. Arsenault admet aussi ne pas avoir versé une somme de 300 $ au bénéfice du Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC) dans les délais prescrits.

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