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15 juin 2018

Gestes sexuels sur des mineurs : Michel Leblanc condamné à 36 mois et 15 jours de prison

Michel Leblanc, 66 ans, de Chandler, accusé de contacts sexuels, incitation à des contacts sexuels ainsi que de leurre informatique auprès de personnes mineures a été condamné à une peine de détention de 36 mois et 15 jours ce vendredi matin au palais de justice de Percé.

En tenant compte de la détention préventive, Leblanc passera les 23 prochains mois et 14 jours en prison. Il sera inscrit au registre des délinquants sexuels à perpétuité et il ne pourra se trouver dans des parcs ou des endroits fréquentés par des jeunes de moins de 16 ans à sa sortie de prison. Il devra également se soumettre à un prélèvement d’ADN pour analyse génétique.

Leblanc avait plaidé coupable le 30 mai. Le plaidoyer de culpabilité était accompagné d’une suggestion commune des deux parties, mais le juge avait plutôt reporté sa décision sur la peine au 15 juin.

L’homme était détenu depuis le 10 octobre 2017 après le dépôt d’une requête en révocation de liberté. Il avait été remis en liberté sous conditions, le 1er mars, une journée après avoir été arrêté au centre-ville de Chandler par les enquêteurs du poste de la MRC du Rocher-Percé de la Sûreté du Québec en lien avec une agression sexuelle sur une personne d’âge mineur.

Il aurait commis ses actes entre septembre 2016 et février 2017. « Une perquisition au domicile du suspect sur la rue Commerciale à Chandler a également eu lieu, ce qui a permis de saisir du matériel informatique pour des fins d’analyse», indique la sergente de la SQ, Christine Coulombe.

Autres dossiers

Le 16 mars 2017, les policiers de la SQ du poste de la MRC du Rocher-Percé ont procédé de nouveau à l’arrestation de Michel Leblanc en lien avec de nouveaux chefs d’accusation reliés à des agressions sexuelles qui seraient survenues dans les années 70.

La Couronne a demandé le retrait de trois dossiers faute de preuve à offrir. Ces dossiers touchent des accusations de bestialité, ne pas être demeuré sur les lieux alors qu’il avait la garde d’un véhicule et du bris d’engagement relié à cette infraction.

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