17 avril 2024

Véronique Bossé - vbosse@medialo.ca

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©Photo gracieuseté – Facebook - Costco

Le maire de Rimouski, Guy Caron, explique qu’il reste à signer le contrat de transaction avec le notaire.

Rappelons que le 29 janvier dernier, le conseil municipal avait adopté une résolution afin d'accepter les termes d'une convention d'achat d'immeuble autorisant la vente à Costco Wholesale Canada limited - Costco – de deux lots, soit les terrains situés à l’angle des rues mentionnés plus tôt.

Par après, lors de la séance du 26 février 2024, le conseil municipal a adopté une résolution afin d'accepter les termes d'une convention d'amendement à la Convention d'achat, permettant de prolonger la période de faisabilité prévue à celle-ci jusqu'au 12 mars 2024. À la suite de quoi, lors de la séance du 11 mars, le conseil a adopté une nouvelle résolution afin d'accepter les termes d'une deuxième convention d'amendement à la Convention d'achat, permettant de prolonger une seconde fois la période de faisabilité prévue jusqu'au 9 avril 2024.

« On avait une promesse d’achat, mais il restait à régler les conditions relatives et les détails comme celles des servitudes. Pour respecter les échéanciers, nous avions jusqu’au 9 avril pour avoir une entente sur les servitudes et j’ai signé l’accord le 9, alors maintenant, d’ici la fin du mois, il nous reste à signer le contrat de transaction avec le notaire », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Au terme de cette période, la Ville de Rimouski et Costco devaient avoir négocié et réglé les termes de trois actes. Ces derniers concernaient entre autres l’entente d’aménagement du site pour la réalisation des travaux municipaux, notamment en ce qui concerne le prolongement du boulevard Arthur-Buies et l’élargissement de la montée Industrielle-et-Commerciale, la mise en place d’une servitude de drainage sur les deux lots concernés et la mise en place de voies de circulation partagées se situant entre le terrain à acquérir par Costco et la propriété de Rimouski Motocyclettes inc., soit le terrain où se situe le magasin Harley-Davidson.

Ainsi, les termes de ces actes ont été adoptés par la majorité du conseil, à l’exception du conseiller du district de Saint-Germain, Philippe Cousineau Morin.

Pour la suite

« Du côté des procédures, tout est fini, il reste à signer devant le notaire. La négociation est terminée, tout ce qu’il nous reste à avoir maintenant est un contrat à signer. L’essentiel est qu’il s’agit d’une transaction pour le terrain. L’ensemble des éléments qui doivent être inclus - dont la question des servitudes qui a été réglée - fait partie du contrat de transaction pour que les deux lots leur soient vendus », ajoute monsieur Caron.

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