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28 mars 2017

Pierre Chassé propose une vigie des installations sportives

©Photo TC Media – Jean-Philippe Langlais

ENGAGEMENT. Le candidat à la mairie de Rimouski en vue du scrutin de novembre, Pierre Chassé, compte mettre en place un groupe permanent de vigie pour les installations sportives municipales.

Cette initiative viserait à déceler les manques et identifier les tendances quant aux besoins sportifs des citoyens et quant aux équipements requis. Cette instance de vigie alimenterait et guiderait la planification de ce secteur sur l’horizon 2030-2040.

En collaboration avec les autorités municipales, le groupe aura pour mandat de sonder les besoins émergents et prévisibles des utilisateurs et associations, de faire l’étalonnage ou la comparaison des programmes, de maintenir à jour le carnet de santé et d’usage des infrastructures, et d'identifier les projets qui maintiendraient Rimouski dans le peloton de tête des villes québécoises de sa taille en termes de disponibilité et de modernité des équipements sportifs.

Cet engagement survient à la suite de la confirmation de la construction d'un nouveau complexe sportif glaces-piscines et des besoins manifestés par différentes organisations sportives quant à un éventuel stade intérieur. Le programme de Pierre Chassé comprend notamment le réaménagement du Complexe sportif Guillaume-Leblanc, afin de le doter d’un stade intérieur multisport.

Selon lui, il y a aussi lieu de déplacer et de rénover la piste d’athlétisme. « Entre temps, de légères et peu coûteuses améliorations garantiraient le maintien sécuritaire des activités courantes », estime le candidat.

« Je dois prévoir que tous les citoyens sportifs bénéficient au plus tôt des installations sportives, qu’ils soient amateurs ou champions, qu’ils soient étudiants, travailleurs ou retraités, qu’ils soient débutants ou athlètes de haut niveau.  C’est à la gouvernance de notre Ville d’anticiper les besoins de ses citoyens pour que nul sportif n’ait à s’éloigner ou à s’expatrier pour profiter sans discontinuer des installations rimouskoises », souligne Pierre Chassé.

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